Le gouvernement provincial de la Colombie-Britannique a annoncé la nomination de Dan Levitt au poste de défenseur des aînés, succédant à Isobel Mackenzie. Levitt, reconnu pour son engagement de 30 ans dans la défense des droits des aînés, prendra ses fonctions le 5 avril 2024, à la retraite de Mackenzie. Sous sa direction, le Bureau de défense des aînés, un organisme indépendant, continuera de surveiller, analyser et recommander des améliorations dans les domaines clés affectant les aînés, tels que les soins de santé, le logement, l'aide au revenu, le soutien communautaire et le transport.
Adrian Dix, ministre de la Santé, et Harwinder Sandhu, secrétaire parlementaire aux services aux aînés, ont exprimé leur enthousiasme pour la nomination de Levitt, soulignant son expérience et son engagement envers l'amélioration de la qualité de vie des aînés de la province. Levitt vise à garantir que les aînés, leurs familles et leurs aidants aient un accès indépendant aux soutiens et services nécessaires, promouvant ainsi un vieillissement en santé.
Isobel Mackenzie, saluant son propre travail en tant que première défenseure des aînés au Canada, a exprimé sa confiance dans la capacité de Levitt à poursuivre et à renforcer l'advocacy pour les aînés face aux problèmes croissants tels que la démence, le logement et les soins aux aînés. Elle a également souligné l'importance d'un réseau solide d'organisations et de services de soutien pour répondre aux préoccupations des aînés et de leurs familles.
Cette nomination s'inscrit dans le cadre des efforts continus du gouvernement provincial pour améliorer le bien-être des aînés, avec un investissement d'environ 2 milliards de dollars dans l'expansion et l'amélioration des soins aux aînés, y compris les soins de santé primaires, les soins à domicile, les soins de longue durée et l'aide à la vie autonome.
Lors d'un atelier interactif et éducatif, Gaétane Palardy, une cheffe de formation vivant à Comox, sur l'île de Vancouver, a partagé son expertise et sa passion pour les herbes et les épices. Ce voyage culinaire, parfait pour les froides soirées d'hiver, a offert aux participants un aperçu fascinant de la façon dont ces ingrédients simples peuvent enrichir notre expérience culinaire.
Le voyage a débuté avec un focus sur les herbes. Gaétane a expliqué que les herbes, telles que le basilic, l'aneth et la coriandre sont souvent les feuilles, tiges ou fleurs de plantes aromatiques. Elle a souligné l'importance de leur ajout en cuisine qui peut être crucial pour le profil de saveur d'un mets.
Les épices : un monde de saveurs intenses
Puis, le voyage a pris un tournant vers les épices qui, contrairement aux herbes, proviennent d'autres parties de la plante, comme les racines, les graines ou les écorces.
Conseils pratiques pour un usage quotidien
Pour les herbes fraîches comme l'aneth et la coriandre, les ajouter à la fin de la cuisson est essentiel pour maintenir leur fraîcheur. Quant aux épices, les intégrer au début de la cuisson dans un corps gras comme de l'huile ou du beurre permet de libérer pleinement leurs arômes. N'hésitez pas à expérimenter et à laisser votre créativité culinaire vous guider.
Publié le 16 novembre 2023, ce rapport, présenté par la défenseure des aînés de la Colombie-Britannique, Isobel Mackenzie, dévoile les résultats de la seconde enquête provinciale auprès de milliers de résident.e.s de soins de longue durée et de leurs familles.
L'enquête s'est déroulée dans 297 établissements de soins subventionnés en Colombie-Britannique, avec des réponses de plus de 10 000 résident.e.s et près de 8 000 membres de famille et amis proches. Plus de 500 britanno-colombiens ont aidé bénévolement les résident.e.s à remplir le sondage. Avec des questions et une structure de sondage similaire à celui de 2016/17, le présent sondage permet une comparaison fiable avec les résultats précédents.
Les résultats révèlent peu d'amélioration dans des domaines tels que la fréquence des bains, l'assistance aux repas, les activités significatives ainsi que l'interaction avec le personnel et les autres résidents. Les évaluations globales de la qualité restent relativement inchangées. Malgré ces lacunes, les résidents continuent de valoriser hautement le personnel pour leurs compétences, compassion et respect.
Points saillants de l'enquête :
Le rapport inclus les 8 recommandations suivantes:
Avec ses partenaires, le Carrefour 50+ Colombie-Britannique est fier de lancer son programme de soutien à domicile pour permettre aux personnes 50+ de vivre dans leur domicile le plus longtemps possible.
Financé en partie par l’initiative Bien vieillir chez soi du Gouvernement du Canada, le Carrefour a conclu des ententes de partenariat sur 24 mois avec deux organismes francophones bien ancrés dans leurs milieux respectifs : la Société francophone de Victoria et la Société francophone de Maillardville.
Déployé en deux volets, le projet prévoit élargir l’offre des services déjà existants (appels de courtoisie, accompagnement, ménage léger, aide à la cuisine, etc.) en plus d’offrir de nouveaux services (grand ménage, petites rénovations, déneigement, entretien extérieur et navigation communautaire). Alors que la majorité des services seront offerts gratuitement par des bénévoles, certains services seront payants en fonction de la capacité financière des personnes qui en bénéficieront.
Par le billet du Fonds provincial pour les services en français, le gouvernement de la Colombie-Britannique contribue également au projet en permettant aux personnes les plus vulnérables de bénéficier de services paramédicaux en fonction de leur niveau de revenu.
Afin de faciliter le jumelage entre les bénévoles et les personnes ayant besoin des services, le Carrefour débute la création d’un tout nouveau site internet transactionnel : soutienadomicile.ca qui sera disponible au printemps 2024.
Le Carrefour 50+ CB a pour mission de rassembler, représenter et mobiliser les francophones et francophiles de 50 ans et plus de la Colombie-Britannique dans toutes leurs diversités en offrant des services répondant à leurs besoins.
Chantal Ziegler, récemment retraitée, a décidé d’entreprendre un pèlerinage inspirant de 290 km sur le chemin portugais de Saint-Jacques-de-Compostelle. Optant pour ce parcours moins populaire par rapport au chemin français classique, elle a suivi la côte atlantique, s’imprégnant des vues maritimes spectaculaires tout au long du voyage.
Son pèlerinage n’était pas seulement une aventure physique mais aussi une quête spirituelle. Chantal a utilisé ce temps pour réfléchir à sa décision de prendre sa retraite, cherchant à savoir si c'était le bon choix. Elle a trouvé que le voyage lui a donné l'espace nécessaire pour apprécier le silence et être plus à l’écoute de ses pensées et sentiments intérieurs.
« Mon voyage a commencé bien avant de poser un pied sur le sentier », confie Chantal. «La préparation est essentielle. J’ai passé des mois à me préparer physiquement et spirituellement. Marcher de longues distances est exigeant pour le corps. Il est important de s'entraîner, d'adapter son corps aux longues heures de marche et au poids du sac à dos. »
Joindre un club
Chantal souligne l’importance de joindre un club de pèlerinage pour la préparation. « Être membre d’un club est une réelle bénédiction. Il vous offre une plateforme pour échanger des idées, recevoir des conseils précieux et partager des expériences avec celles et ceux qui ont déjà accompli ce voyage spirituel », dit-elle.
Elle ajoute que le club de pèlerinage vous guide à travers le labyrinthe de la préparation, vous aidant à planifier efficacement. « Les membres expérimentés peuvent aider à choisir le bon équipement, à sélectionner des chaussures de marche confortables et adaptées, et à s’assurer que le sac à dos n’est ni trop lourd ni encombrant », ajoute Chantal. « Cela vous offre aussi une merveilleuse occasion de se connecter et d’échanger avec des personnes partageant les mêmes idées, créant un réseau de soutien solide. »
Quête spirituelle
L’aspect spirituel de la préparation est aussi essentiel. Chantal suggère d’utiliser les ressources du club pour nourrir et orienter cet aspect du voyage. « Les clubs organisent souvent des rencontres, des sessions de partage et d'autres activités qui peuvent enrichir et approfondir votre compréhension et votre préparation spirituelle. »
Chantal parle avec passion de l’aspect spirituel du voyage. « C’était un temps pour moi de réfléchir sur ma vie, ma récente retraite, et les décisions que j’ai prises, » partage-t-elle. Le chemin a offert un espace pour se connecter avec soi-même, avec la nature, et aussi avec d’autres pèlerins rencontrés en route.
Chantal poursuit en partageant son expérience des merveilles du Portugal. « C’est un parcours rempli d’histoire et de culture, chaque pas résonne avec les échos des voyageurs qui nous ont précédés », partage-t-elle.
Cela dit, elle met également en garde contre les défis que l’on peut rencontrer, insistant sur l'importance de l’ouverture d’esprit et de l’adaptabilité, et encourage les futurs pèlerins à être bien préparés pour tous les aspects du voyage.
Budget et préparatifs
« Le budget était un gros morceau. Il fallait penser à tout : l’hébergement, la nourriture, les urgences, » mentionne Chantal. Elle souligne également l’importance de choisir le bon équipement, comme un sac à dos confortable et une trousse de premiers secours bien fournie. Par ailleurs, le passeport du pèlerin est essentiel. Il permet de recueillir les tampons qui sont les souvenirs de chaque étape du voyage. Pour obtenir le certificat de Compostelle à Santiago, les pèlerins doivent avoir recueilli au moins deux tampons par jour.
« C’est important d’écouter son corps pendant le voyage », conseille-t-elle, notant que des problèmes comme les ampoules peuvent devenir de sérieux obstacles si on ne prend pas soin de soi. Les longues heures de marche nécessitent une bonne condition physique, mais le pèlerinage est aussi une expérience mentale et émotionnelle.
Chantal termine en partageant une réflexion : «Ce n’est pas seulement la destination qui compte, mais chaque pas, chaque personne rencontrée, et chaque petit moment de réalisation personnelle tout au long du chemin.» À travers son pèlerinage, elle a trouvé un chemin de réflexion, de beauté et de compréhension plus profonde de soi-même et de son voyage dans la vie.
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